domingo, 24 de febrero de 2013
sábado, 23 de febrero de 2013
LA GUERRE S´INSTALLE AU MALI
La France se trouve relativamente seule dans une guerre qui commence à s´elargir dans le temps et sur le territoire. Sauf les Etats Unis qui collaborent activament avec leurs drônes “Predators“ depuis Niamey, les soldats maliens, tchadiens, nigériens, du Burkina Faso et les soldats touaregs du MNLA qui se sont pliés, en grande mayorité, à la lutte contre les fondamentaliste, islamiques, personne ne parait disposer à aller au delà des déclarations et de quelques aides logistiques ponctuelles. L´absence des pays de L´Union Européenne est surprenante et peu compréhensible dans un moment ou la guerre couvre tout le Nord Mali, depuis Gao jusqu´à l´extrême Nord de la frontière algérienne dans l'Adrar des Ifoghas, région montagneuse, de très difficile contrôle, qui est considerée comme le berceau de la civilisation touareg.
Images et Crédits : AFP - Frédérick Lafargue
De violents affrontements ont eu lieu jeudi à Gao (Mali), faisant entre
15 et 20 morts parmi les islamistes et blessant deux soldats français et
quatre maliens, selon un bilan établi par l'état-major de l'armée
française.
jueves, 21 de febrero de 2013
MYANMAR´S FUTURE : CHINA, JAPAN OR INDIA ?
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miércoles, 20 de febrero de 2013
L´IRAN COMMENCE Á IRRITER MEME SES ASSOCIÉS POLITIQUES ET COMMERCIAUX
BLOG "Nouvelles d´Iran"
"LE MONDE"
19 février 2013
Le fils du dernier Shah trouble les relations irano-chinoises
La République islamique est en colère contre sa plus proche
alliée et partenaire économique, la Chine. En cause : la télévision
officielle chinoise, China Central Television (CCTV), a diffusé en
anglais une interview de Reza Pahlavi, le fils du dernier Shah de
l'Iran, Mohammad-Reza Pahlavi, renversé par la Révolution iranienne en
1979.
Invité à une émission de débat, intitulée "Heat", diffusée le 18 février, Reza Pahlavi a qualifié le régime iranien de "menace" et les élections dans son pays d'origine de "moquerie".
Reza Pahlavi a également plaidé pendant une dizaine de minutes pour
une aide de la communauté internationale en faveur du mouvement
contestataire à l'intérieur de l'Iran qui "paralyserait" et, à terme, "renverserait" le régime.
Ses propos n'ont guère plu aux autorités iraniennes, qui ont menacé l'Etat chinois de "conséquences négatives sur les relations bilatérales". Dans un communiqué, émis le même jour, l'ambassade iranienne en Chine a qualifié cet acte de "désolant", "insupportable" et "irresponsable".
"Cet acte est perçu comme une ingérence directe dans les affaires internes de l'Iran et contre (...) les principes pacifiques des relations étrangères de la République populaire de Chine", peut-on lire dans ce communiqué. L'ambassade iranienne en Chine a demandé aux "responsables gouvernementaux et à ceux du parti [communiste chinois] de faire le nécessaire pour empêcher ce genre d'actes" dans l'avenir.
Reza Pahlavi, vivant aujourd'hui aux Etats-Unis, a multiplié ces
derniers mois les rencontres avec les responsables politiques
occidentaux pour parler de sa vision du changement en Iran. En janvier,
il avait rencontré séparément les parlementaires britanniques et Martin
Schultz, président du parlement européen. Reza Pahlavi leur a parlé de
sa vision d'"une voie vers la sécularité et la démocratie en Iran".
Le fils du dernier Shah d'Iran a également évoqué la mise en place d'une organisation nommée le "Conseil national de l'Iran". Le but de ce conseil, selon M. Pahlavi, est de mener une campagne pour "rétablir le droit des Iraniens à des élections libres"
dans leur pays, sans donner plus de détail sur les mesures à envisager.
La première réunion de ce conseil devrait avoir lieu début mars.
La Chine, profitant des sanctions internationales imposées à l'Iran, a
pu construire ces dernières années des partenariats
économiques juteux avec Téhéran. Selon le vice-président iranien Mohammad Javad Mohammadi-Zadeh,
ce pays est le premier partenaire économique de l'Iran. Pékin, qui est
aujourd'hui l'un des premiers acheteurs du brut iranien, s'est opposé à
de multiples reprises à un renforcement des sanctions des Nations unies
contre le programme nucléaire iranien.
Mina Azam
martes, 19 de febrero de 2013
GOOGLE , THE BIG BROTHER
La Cnil en mode répressif face à ce flou furieux de Google
par Camille Gévaudan pour ˝ECRANS˝ de ˝LIBÊRATION.fr˝
Octobre 2012 : la Cnil et ses consœurs européennes tapent sur les doigts de Google pour sa gestion des données personnelles d’internautes. « Google a quelques mois — trois ou quatre — pour se mettre en conformité avec la législation européenne, préviennent alors les autorités de protection des données. S’il ne prend aucune mesure, alors nous entrerons dans une phase contentieuse. » Quatre mois ont passé, et Google n’a pas donné signe de vie. Chose promise, chose due : la phase contentieuse est enclenchée.. ou presque : les Cnil proposent aujourd’hui « la mise en place d’un groupe de travail pour coordonner leur action répressive ».
L’enquête a débuté quand Google a présenté, tout fier de lui, une grande simplification de ses conditions générales d’utilisation en janvier 2012. Gmail, Google Maps, Calendar, YouTube, Blogger... 60 des services made in Mountain View ont vu leurs « CGU » fusionnées en un seul document. Une opération problématique selon la Cnil : si tous les services répondent aux mêmes règles, l’internaute devient « incapable de déterminer quelles sont les données personnelles utilisées pour tel service et les finalités exactes pour lesquelles ces données sont traitées. » En bref : plus c’est « simple », plus c’est flou. Un deuxième point sensible concernait le croisement des données induit par la fusion des CGU : historique de navigation Internet, reconnaissance faciale sur les photos Picasa, communications sur les téléphones Android... Une fois interconnectées, ces informations aboutissent à la constitution d’un fichier trop vaste « en termes de périmètre et d’historique ».
Selon la Cnil, le croisement des données induit par la fusion des CGU a mené Google à la constitution d’un fichier trop vaste.
Deux questionnaires ont alors été envoyées à Google par le groupe des Cnil européennes pour apporter un peu de lumière sur le traitement et le croisement de ces milliards de données. Les instances ont également recommandé « une information plus claire des personnes et un meilleur contrôle par les utilisateurs de la combinaison de données entre les nombreux services offerts par Google », et demandé à Google de « préciser les durées de conservation des données. »
Mais Google a fait la sourde oreille. « A l’expiration du délai de 4 mois accordé à Google pour se mettre en conformité et s’engager sur la mise en œuvre de ces recommandations, aucune réponse n’a été apportée par la société », constate la Cnil aujourd’hui. L’heure des sanctions arrivera donc « avant l’été », suite à la mise en place d’un groupe de travail européen.
Google a déjà réagi, feignant l’étonnement : « Notre politique de confidentialité respecte la loi européenne et nous permet d’offrir des services plus simples et plus efficaces », expliquent-ils à l’AFP avec leur plus grand sourire — comme si leur « efficacité » avait un jour été mise en cause... « Nous nous sommes pleinement impliqués tout au long des échanges avec la Cnil, et nous continuerons à le faire ». Peut-être qu’il serait temps, alors, de répondre à ses exigences.
Mise à jour : Suite à la publication de cet article, Google a tenu à nous préciser qu’il n’est pas resté silencieux ces derniers mois puisqu’il a transmis à la Cnil, le 8 janvier 2013, une réponse dont le contenu est à ce jour confidentiel. L’entreprise américaine a également proposé de rencontrer l’instance de protection des données.
lunes, 18 de febrero de 2013
lunes, 11 de febrero de 2013
LA INAGOTABLE HIPOCRESÍA BRITÁNICA...
El descubrimiento de que en algunos platos preparados por la marca sueca FINDUS-NORDIC, en lugar de la anunciada carne bovina, los análisis denunciaban la presencia de carne equina ha sido un escándalo en una serie de países europeos. El asunto es una vulgar estafa, una mala praxis comercial y un claro engaño a los consumidores pero, todo analista serio no dejó de señalar que el engaño no tiene la menor consecuencia para la salud
Pero donde el asunto adquirió ribetes de "alta política" y hasta comentarios "indignados" de su Primer Ministro, fué en Inglaterra. "Completamente inaceptable" dijo en plena reunión europea en Bruselas, el fino gourmet que funge de Primer Ministro en Albión. Es entendible: acostumbrado a comer carne de esa maravillosa de creación británica que fue la "vaca loca" en las cenas que compartía con Murdoch y los secuaces del pasquín amarillista, "News of the World", Cameron entiende "inaceptable" que la población inglesa se vea obligada a la ignominia de comer carne de caballos y para peor, al parecer, rumanos.
En uno de los múltiples divertidísimos comentarios que se encuentran en la web sobre la reacción del Primer Minisitro, hay un lector español que pregunta: ¿"Este inglés tonto nunca se preguntó lo que hay dentro de una salchicha?"
En uno de los múltiples divertidísimos comentarios que se encuentran en la web sobre la reacción del Primer Minisitro, hay un lector español que pregunta: ¿"Este inglés tonto nunca se preguntó lo que hay dentro de una salchicha?"
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